Mes amis belges, ma famille belge …

Voici en lien (du cœur) un extrait du journal « Le fil rouge » qui a été conçu avec amour par la famille et les amis d’André et Jeannine Castermane Van Bogaert (CVB) à l’occasion de leur 50ème anniversaire de mariage le 7 décembre 2013.

Si j’ai extrait « mon » texte de ce journal écrit de manière « chorale », ce n’est pas pour distinguer la petite pierre personnelle que j’avais apportée à l’édifice du « Fil rouge », mais bien pour souligner, surligner dans cette rubrique « Coups de cœur » les liens du cœur qui me relient à André et Jeannine .

Je veux par là-même leur exprimer aussi ma gratitude : sans eux probablement aurais-je déjà interrompu mon chemin de chansons tant ils m’apportent la confiance et l’esprit positif que je n’ai pas toujours ou pas encore en moi. Cvb … Cela viendra bientôt.

Enfin, clin d’œil, c’est André qui a eu l’idée de cette rubrique « Coups de coeur », idée à laquelle j’ai d’abord résisté – mon côté Isa…rebelle – puis qui s’est imposée à moi avec le premier coup de cœur … littéraire et pédagogique.

Voici mon extrait tiré du fil rouge.

Encore un dernier mot avant de dérouler le fil rouge …

S’il existait un Prix Nobel de l’Amour, nul doute qu’André et Jeannine Castermane Van Bogaert le recevraient à l’unanimité du jury, avec une voix supplémentaire, la mienne, autrement dit l’unanimité plus une voix.

7 Décembre 1963 -> 7 Décembre 2013

50 ans séparent ces 2 dates et réunissent André et Jeannine Castermane Van Bogaert sous le signe d’un mariage d’Amour, qui n’en finit pas de grandir, d’embellir et de se renforcer.

7 Décembre 2003 -> 7 décembre 2013

10 è anniversaire de notre rencontre, AndréJeannine (en un seul mot, en un seul être composé de deux âmes sœurs) et moi, Isabelle.

Le 7 Décembre 2003, j’ignorais alors que cette date était celle du 40è anniversaire de leur mariage, je rencontrai André et Jeannine chez Claude et Hélène Nougaro à Paris.

Rencontre pré-destinée : « Je crois au destin…. » écrivait Claude Nougaro dans ses Carnets d’un motsicien, « le destin, cette loi qui voyage incog-nito ». Rencontre sous protection idyllique : celle d’Hélène et de Claude Nougaro.

A croire qu’Hélène et Claude avaient inconsciemment organisé la rencontre, notre rencontre : JeannineAndré et Isabelle.

Isabelle, bientôt devenue … Isabrel, quand ce 7 décembre 2003 il fut décidé d’un commun accord enthousiaste que j’irais le mercredi 14 janvier 2004 voir l’Exposition Brel à Bruxelles sous la belle et belge protection d’André et Jeannine qui m’offrirent en ce 14 janvier 2004 ma première journée en Belgique à la rencontre de Jacques Brel à Bruxelles.

Première rencontre : dans la maison d’Hélène et de Claude Nougaro à Paris, France.

Deuxième rencontre : dans la ville de Jacques Brel, à Bruxelles, Belgique.

Troisième rencontre : celle-ci fut sous le signe triple de Barbara, Brel et Nougaro que je chantai en février 2004 dans le Jardin François, dans le Perche, sur l’invitation de Gérard François « qui m’avait tendu le Perche », pour reprendre les mots de Claude.

Claude Nougaro nous a quittés le 4 mars 2004. Mais la rencontre qu’avec Hélène, Claude avait tissée entre JeannineAndré et moi était installée entre nous définitivement, indéfiniment, infiniment.

Voilà pour LA rencontre en trois étapes fondamentales entre André, Jeannine et moi.

D’autres rencontres, voyages de ma part vers la Belgique, d’André et de Jeannine vers la France, se sont organisées d’elles-mêmes.

La musique – celle de Claude Nougaro en particulier, mais aussi celles de Barbara et Jacques Brel – était là comme un fil rouge de notre Amitié.

Je ne raconterai pas chacune des rencontres, mais ce que cet itinéraire amical a créé : entre nous et en moi.

Souvent, de « Mes Amis belges », je dis « Ma famille belge », tant le lien que je ressens est devenu un lien quasi-filial, tant j’ai l’impression d’avoir en Jeannine et André, une deuxième famille de cœur, et en Jessica, une de leurs petites-filles, une pianiste en herbe qui serait un peu comme ma filleule de cœur et de sensibilité. Lien quasi-filial, tant « toute la familia » - comme dit Michel, le mari de Sylvie, leur fille, avec Luca, Nicola et Jessica – est devenue un peu « ma familia ».

Tant je suis reliée à Isa et Pascal, leur fils et son épouse, leurs enfants, par les nouvelles que m’en donne régulièrement Jeannine. Sans oublier les petits-enfants, notamment Melissa, Christopher ( mon webm@ster !), leur maman Nathalie … J’irai jusqu’à citer toute l’équipe de l’Entreprise familiale Cvb. Cvb, comme Castermane Van Bogaert, Cvb, comme Ca va bien

Si je devais retenir et souligner une ou deux choses essentielles en ce 7 décembre 2013, jour J du cinquantième Anniversaire de mariage d’André et de Jeannine Castermane Van Bogaert, ce serait …

La Beauté et La Force de l’ « Amour Total » (comme dirait Nougaro) qui magnifie le couple que forment André et Jeannine et c’est aussi le rayonnement d’amour, de bienveillance et d’esprit positif qu’ils offrent à tous ceux qui ont le bonheur de les rencontrer.

Une telle manifestation d’Amour, un tel don d’Amour envers les Autres, où l’harmonie des relations a même fait naître et grandir une entreprise modèle Cvb, où performance rime avec bonheur de travailler ensemble, un tel Amour qui éclaire les 2 protagonistes (ne faisant qu’1) et rejaillit sur tous ceux qui croisent leur chemin … tout cet Amour est un miracle bien réel, un rêve devenu réalité, un idéal à suivre … Comme « l’inaccessible étoile » de Jacques Brel, incarnée dans la vraie vie en l’Amour qui relie ces deux âmes sœurs : AndréJeannine ou JeannineAndré. L’un ne va pas sans l’autre.